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Formation
Théâtre et musique en Image : la jalousie
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A l’issue de cette formation, les participants seront en mesure :
- De faire exister une création pluridisciplinaire et en équipe au plateau en s’appuyant sur la méthode Théâtre Brut
- D’intégrer la musique à une scène de théâtre
- D’appréhender la réalisation en réalité virtuelle à 360°
- De distinguer le geste cinématographique et le geste théâtral
- De faire exister une création pluridisciplinaire et en équipe au plateau en s’appuyant sur la méthode Théâtre Brut
- D’intégrer la musique à une scène de théâtre
- D’appréhender la réalisation en réalité virtuelle à 360°
- De distinguer le geste cinématographique et le geste théâtral
Accompagné par le metteur en scène Nikson Pitaqaj avec la méthode Théâtre Brut, les musiciens Sébastien Lanz et Naïma Gheribi pour la musique, la réalisatrice Corinne Derian et l’artiste Claude Pélopidas pour le cinéma, l’image et la précision du geste, vous travaillerez à partir de textes d’auteurs classiques, contemporains et vivants. Vous créerez des scènes inédites sur la base d’improvisations en équipes. Les différentes scènes nées du plateau, où vous mettrez tout votre corps en mouvement, seront retravaillées et enrichies au fil du stage, menant à une création collective mêlant musique et théâtre. La caméra de la réalisatrice Corinne Derian s’insinuera dans ce processus de création inédit pour le filmer et interroger les liens entre vidéo et théâtre, les concepts de réalité virtuelle.
Le stage aura pour fil rouge le thème de la jalousie : La jalousie peut être définie de plusieurs façons selon le contexte, mais elle désigne généralement un sentiment d’envie, de méfiance ou de possessivité suscité par la crainte de perdre quelque chose ou quelqu’un au profit d’un tiers.
Si les définitions de jalousie diffèrent et qu’il en existe plusieurs formes, le sujet, et notamment ses conséquences, sont extrêmement intéressants à traiter sur scène. Nombre de dramaturges et réalisateurs ou réalisatrices s’en sont emparés, parmi eux W. Shakespeare, A. Tchekhov, Molière, S. Guitry, Y. Reza, J. Pommerat, F. F. Coppola, C. Berri ou J. Campion … La jalousie est donc un moteur dramatique puissant. Qu’elle soit tragique, comique ou pathétique, elle interroge toujours la possession, le désir et la peur de perdre l’autre.
La méthode théâtre Brut : Le processus de création n’est pas du ressort individuel et intellectuel d’un metteur en scène, il jaillit du plateau nu, du travail commun incarné par les corps dont l’investissement est total. Aucune idée n’est établie à l’avance, partant du principe que toute réflexion intellectuelle ou projection fantasmée est moins porteuse que ce qui survient dans l’instant au plateau. Inspiré par Kantor, Grotowski et Mnouchkine pour le théâtre, ou Chaplin, Kurosawa et Scorsese pour le cinéma, Nikson Pitaqaj développe avec la Compagnie Libre d’Esprit depuis plus de vingt ans une méthode de travail originale, nommée Théâtre Brut.
Interroger la jalousie avec la méthode Théâtre Brut et en musique, c’est explorer les failles humaines en passant par le corps pour mieux en définir les contours.
Le stage aura pour fil rouge le thème de la jalousie : La jalousie peut être définie de plusieurs façons selon le contexte, mais elle désigne généralement un sentiment d’envie, de méfiance ou de possessivité suscité par la crainte de perdre quelque chose ou quelqu’un au profit d’un tiers.
Si les définitions de jalousie diffèrent et qu’il en existe plusieurs formes, le sujet, et notamment ses conséquences, sont extrêmement intéressants à traiter sur scène. Nombre de dramaturges et réalisateurs ou réalisatrices s’en sont emparés, parmi eux W. Shakespeare, A. Tchekhov, Molière, S. Guitry, Y. Reza, J. Pommerat, F. F. Coppola, C. Berri ou J. Campion … La jalousie est donc un moteur dramatique puissant. Qu’elle soit tragique, comique ou pathétique, elle interroge toujours la possession, le désir et la peur de perdre l’autre.
La méthode théâtre Brut : Le processus de création n’est pas du ressort individuel et intellectuel d’un metteur en scène, il jaillit du plateau nu, du travail commun incarné par les corps dont l’investissement est total. Aucune idée n’est établie à l’avance, partant du principe que toute réflexion intellectuelle ou projection fantasmée est moins porteuse que ce qui survient dans l’instant au plateau. Inspiré par Kantor, Grotowski et Mnouchkine pour le théâtre, ou Chaplin, Kurosawa et Scorsese pour le cinéma, Nikson Pitaqaj développe avec la Compagnie Libre d’Esprit depuis plus de vingt ans une méthode de travail originale, nommée Théâtre Brut.
Interroger la jalousie avec la méthode Théâtre Brut et en musique, c’est explorer les failles humaines en passant par le corps pour mieux en définir les contours.
Une expérience dans le domaine du spectacle vivant est préférable.
Durée en centre : 122 heures
Durée totale : 122 heures
122h
Durée totale : 122 heures
122h
Formacode (Domaines de formation) :
- 45022 Art dramatique
- 45073 Musique
- 46266 Réalité virtuelle
- 46274 Cinéma
- L1203 Art dramatique
- L1204 Arts du cirque et arts visuels
- 133 Musique, arts du spectacle