Selon une étude d’Indeed, 26 % des emplois publiés en 2025 pourraient déjà être transformés par l’IA générative. Plutôt que de supprimer massivement des postes, l’IA redessine les compétences, touchant surtout les professions intellectuelles comme le développement, l’analyse et la comptabilité. Les métiers à forte composante physique restent relativement préservés. (Siècle Digital, 06/10/2025)

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Un Céreq Bref met en évidence les spécificités des très petites entreprises (TPE) en matière de formation continue. Bien qu’elles représentent près d’un quart de l’emploi salarié, elles ne regroupent que 10 % des salariés formés. L’enquête souligne l’importance du secteur, de la taille et de l’accompagnement externe (OPCO, dispositifs publics) dans l’accès à la formation, ainsi que l’intensité particulière de l’effort quand ces entreprises s’engagent. (Céreq, 06/10/2025)

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Stages modifiés en CDD, expériences inventées, changement de prénom ou d’adresse… Plusieurs jeunes diplômés racontent avoir menti sur leur CV pour contourner les discriminations et sortir de la précarité. Derrière ces stratégies se cachent le poids des origines, de l’adresse ou de l’école d’origine, mais aussi la pression de trouver un premier emploi dans des secteurs fermés. Tous dénoncent des discriminations sociales et raciales persistantes, ainsi que la multiplication des offres de stage au détriment des postes juniors. (StreetPress, 06/10/2025)

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Dans le cadre de leurs politiques de coopération décentralisée, les collectivités locales appuient les pays en développement dans la formation professionnelle et l’insertion. Lors d’un colloque organisé par l’Afpa, plusieurs exemples ont été présentés : appui aux femmes vulnérables au Burundi, au Togo et à Madagascar, projets de maraîchage à Ouagadougou… Ces initiatives sont cependant freinées par la baisse de l’aide publique au développement. France Travail, de son côté, mobilise 150 experts internationaux et accompagne aussi des projets comme l’adaptation au Brésil du format “Du stade vers l’emploi”. (Localtis, 06/10/2025)

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Le 25 septembre 2025, le Grand Port maritime de Marseille (GPMM) a dévoilé le projet “Phare”, porté par Eiffage et l’architecte Corinne Vezzoni. Ce projet de 120 millions d’euros comprend la réhabilitation de la halle J0, actuellement inoccupée, et la construction d’un nouveau siège social. L’objectif est d’ouvrir le port aux Marseillais tout en maintenant la continuité des activités portuaires, avec des espaces destinés à l’ESS et à la culture. La préfiguration du projet est prévue à partir de 2026. (Marsactu, 03/10/2025)

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