Le 9 juillet 2025, le Conseil supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT) a rejeté les projets de décret transposant la réforme de la haute fonction publique à l’encadrement supérieur territorial, notamment à cause du classement des emplois fonctionnels. Malgré ce blocage, la revalorisation des grilles indiciaires est saluée par les agents. Une nouvelle séance est prévue en septembre, tandis que les acteurs locaux cherchent à faire évoluer le projet. (18/07/2025 – Localtis)

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En 2025, l’expérimentation de la prépa-apprentissage, qui aide les jeunes éloignés du monde professionnel à trouver leur voie dans le BTP, a été arrêtée par l’État. Cependant, dans l’Ain, le CCCA-BTP et France Travail ont pris le relais pour maintenir ce dispositif. Depuis 2018, 370 jeunes ont été accompagnés, avec un taux d’entrée en formation de 66 %. Ce « sas » mêle remise à niveau et immersion en entreprise, donnant confiance aux jeunes et répondant aux besoins des employeurs locaux. (18/07/2025 – La Croix)

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Au printemps 2025, une enquête a été menée auprès de 336 titulaires de l’EQPR pour évaluer son utilité et son impact. 59 % des répondants ont utilisé le passeport pour faciliter leur accès à l’éducation ou à l’emploi. Lancé par le Conseil de l’Europe en 2017, l’EQPR permet la reconnaissance des qualifications des réfugiés même sans documents complets. 95 % des utilisateurs recommandent ce dispositif, soulignant son rôle important dans l’intégration professionnelle et éducative. (18/07/2025 – Conseil de l’Europe)

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En 2025, la phase d’admission complémentaire de Parcoursup se poursuit jusqu’en septembre pour les candidats n’ayant pas obtenu de place, dont 28 % sont en réorientation. Ces étudiants vivent souvent un stress important, entre erreurs de choix initial et difficultés à trouver une formation adaptée. Malgré les incertitudes, certains réussissent à intégrer leur cursus souhaité après plusieurs tentatives, comme Linda en BTS événementiel ou Rafael en cinéma. (18/07/2025 – France Info)

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En 2025, la quête du sens au travail devient une pression paradoxale pesant sur la santé mentale des salariés. Trois postures existent : croire en un travail porteur de sens, subir un travail vide de sens, ou refuser cette injonction et considérer le travail comme un simple moyen de subsistance. Cette dernière posture invite à déconnecter vie professionnelle et accomplissement personnel, en rejetant le diktat du management transformationnel qui impose une quête identitaire souvent vide de sens réel. (18/07/2025 – L’Express)

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